Coupes 2009-2010 - Conseil General

Coupe du conseil général (finale). Guégon (D1) - USSAC (D1) : 0-1. Les Guégonnais avaient pourtant la mainmise sur le match

Par cette belle journée et devant un public venu nombreux, ce sont les locaux qui prennent rapidement l'ascendant sur leurs homologues. Facorat tente sa chance à l'entrée de la surface mais sa frappe est trop écrasée (10'). Le très actif Soumaila y va aussi de sa tentative mais ne connaît pas plus de succès (16'). C'est juste avant le retour aux vestiaires que l'occasion la plus dangereuse de la partie a lieu. Bien lancé dans la surface, Bonno se retrouve face au gardien adverse. Ce dernier ferme bien son angle et remporte son duel (45'). A la reprise, on prend les mêmes et on recommence ! une nouvelle fois, l'emprise des blancs sur le jeu est quasi totale. Mahieu prend bien l'espace avant de voir sa frappe puissante passer au-dessus des cages de Lionel Bessy (47'). le tournant de la rencontre intervient un peu plus tard. Facorat se présente alors seul devant le portier de l'USSAC. Le dernier rempart des rouges sauve une nouvelle fois son équipe (64'). Et c'est alors que le diable Rio sort de sa boîte ! Torcheux déborde parfaitement et centre, Robin se détend bien mais le ballon atterrit dans les pieds de Rio qui conclu facilement (0-1, 68'). C'est cruel. Guégon est sonné et ne relèvera plus la tête. Les hommes de Jean-Alain Boucicaud ont même frôlé le KO lorsqu'Emmanuel Bessy s'est heurté à la belle sortie de Robin (79').

GUÉGON - USSAC : 0-1 (0-0).

Arbitre : M. Maguero.

BUT. Rio (68')

AVERTISSEMENTS. Guégon : Facorat (83') ; USSAC : Laxio (45'+3'), Havard (78').

Jean-Alain Boucicaud (Guégon) : « On domine des pieds et de la tête, on doit gagner ce match par au moins deux buts d'écart. C'est le reflet de notre saison où on domine mais on ne score pas. »

Jean-Charles Gousset (USSAC) : « On était tendus et cela s'est vu. On est tombé sur une belle équipe de Guégon à qui il faut rendre hommage. Il fallait un vainqueur et c'est nous. C'est très bien pour le club, on va savourer. »